La recherche

La recherche

Axe 1

Identification et caractérisation de nouvelles molécules thérapeutiques

Axe 2

Repositionnement de molécules thérapeutiques existantes

Axe 3

Développement de modèles d’études de la maladie

Axe 4

Utilisation de l’intelligence artificielle pour accélérer l’identification de molécules thérapeutiques d’intérêt pour Sanfilippo

Axe 5

Contribution à la mise en place de la feuille de route établie avec l’International Sanfilippo Syndrome Alliance (ISSA)

Programmes financés

En cours

Programme de recherche dirigé par la Dre Anna Fournier avec le Swiss Data Science Center (joint-venture entre l’EPFL et l’ETH Zürich, Suisse) : Une méthode d’apprentissage profond pour l’identification de molécules à repositionner pour les MPS.

Le Swiss Data Science Center (SDSC), créé en 2017 grâce à un partenariat entre l’EPFL et l’ETH Zürich, s’engage à accélérer l’adoption de la science des données et des techniques d’apprentissage automatique dans divers domaines, allant des disciplines académiques aux secteurs public et industriel. Dans le cadre de la recherche et du développement, le SDSC mène un projet à la pointe des dernières innovations technologiques. Les chercheurs utilisent l’intelligence artificielle et des bases de données existantes pour développer un algorithme permettant d’identifier des molécules innovantes, susceptibles d’être repositionnées dans le traitement des maladies MPS (mucopolysaccharidoses). Les premiers résultats de ce projet sont en cours d’analyse.

Programme de recherche mené par le Dr Johannes Schlachetzki et le Dr Philip Gordts, Université de San Diego (Californie, Etats-Unis) : Renforcer la fonction lysosomale et cibler la neuroinflammation à l’aide d’un petit composé pour le traitement du syndrome de Sanfilippo. Travaux de recherche cofinancés avec la Sanfilippo Children’s Foundation (Freswater, Australie).

Le projet, qui a débuté en janvier 2023, vise à déterminer si un médicament appelé C381 est prometteur en tant que candidat thérapeutique pour le syndrome de Sanfilippo et à mieux comprendre son mode d’action. Les tests des composés anti-inflammatoires sont en cours. Pour le moment, aucune toxicité n’a été observée.

Programme de recherche mené par la Prof. Kim Hemsley, Université Flinders (Adelaïde, Australie) : Création d’un nouveau modèle animal préclinique du syndrome de Sanfilippo. Travaux de recherche cofinancés avec la Sanfilippo Children’s Foundation (Freshwater, Australie).

L’équipe a travaillé sur la création et la caractérisation d’un nouveau modèle de souris pour la maladie de Sanfilippo de type A, la variante R245H. Cette variante est courante chez les patients atteints de cette maladie. Elle est présente chez 58% des patients aux Pays-Bas et jusqu’à 31% des patients en Australasie. Le projet a reçu toutes les approbations éthiques nécessaires. Le modèle de souris va permettre de tester des médicaments chaperons, une option thérapeutique potentielle pour les patients atteints de cette variante et pourrait contribuer à faire avancer dans le développement de traitements pour cette maladie.

Programme de recherche mené par le Dr Lachlan Jolly, Université d’Adelaïde (Adelaïde, Australie) : Une approche pragmatique du syndrome de Sanfilippo. Travaux de recherche cofinancés avec la Sanfilippo Children’s Foundation (Freshwater,Australie).

Son objectif est de développer de nouveaux médicaments ciblant un processus appelé désintégration médiée par le non-sens, en utilisant un modèle de cellule Sanfilippo de type A. L’équipe a généré dix nouvelles lignées cellulaires parmi lesquelles deux lignées cellulaires ont montré une excellente réponse. Des expériences complémentaires sont menées. Ce projet vise à développer des traitements pour les formes les plus graves de la maladie de Sanfilippo ainsi que pour d’autres maladies génétiques rares associées à des mutations de non-sens.

Programme de recherche développé par la Dre de Agostini et dirigé à présent par le Prof. Sizonenko et la Dre Veraldi avec l’Université de Genève (UNIGE) et les Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) : Interférer avec la première étape du catabolisme des sulfates d’héparane (HS) comme stratégie pour diminuer l’accumulation pathologique intracellulaire chez les patients atteints du syndrome de Sanfilippo.

Il s’agit du premier programme suisse soutenu par la Fondation.

Le but du projet est d’évaluer l’effet du traitement avec un polysaccharide inhibiteur de l’héparanase sur le modèle de souris MPS III A (maladie de Sanfilippo).

Les premiers résultats des travaux ont été concluants et ont permis la rédaction d’un manuscrit soumis pour la publication scientifique ainsi que le dépôt d’un brevet. Les travaux sont actuellement poursuivis pour confirmer les résultats préliminaires obtenus chez les souris Sanfilippo.

Stoppés

Programme de recherche conduit par la Dre Louise O’Keefe, Université d’Adelaïde, et le SAHMRI (South Australia Health and Medical Research Institute, Adelaïde, Australie) visant à cibler l’autophagie dans le syndrome de Sanfilippo.

Travaux de recherche cofinancés avec la Sanfilippo Children’s Foundation (Freshwater, Australie).

Programme de recherche mené par la Dre Adeline Lau et la Prof. Kim Hemsley, Université de Flinders (Adelaïde, Australie) en collaboration avec le Professeur Vito Ferro, Université de Queensland (Saint-Lucia, Australie) sur la thérapie médicamenteuse par petites molécules pour la MPS III A.

Travaux de recherche cofinancés avec la Sanfilippo Children’s Foundation (Freshwater, Australie).

Programme mené par le Dr Marc Martinell, CEO Minoryx Therapeuthics (Barcelone, Espagne) sur la thérapie chaperon.

Programme mené par la Dre Haiyan Fu et le Dr Douglas McCarty, Research Institute at Nationwide Children’s Hospital (Columbus, Ohio, Etats-Unis) : Thérapie génique pour les MPS III A et III B. 

Programme mené par le laboratoire du Prof. Olivier Martin, Université d’Orléans (Orléans, France) :

Développement d’inhibiteurs de la galactosidase β et de la glucuronidase β comme candidats de molécules chaperons dans des modèles in vitro des syndromes de Morquio B et de Sly.

Développement et évaluation des chaperons chimiques de la NAcétylglucosaminidase :

a) Programme conduit par l’équipe du Prof. Matthieu Sollogoub, au CNRS/UMR de l’Université Pierre et Marie Curie (Paris, France), UMR/CMRS 6514 (Poitiers, France) et Glycobiology Institute (Oxford, UK).

b) Programme mené par le Dr Stéphane Demotz, DORPHAN SA, et l’EPFL Innovation Park (Lausanne, Suisse).

Essai dirigé par l’équipe du Prof. Marco Sardiello, Texas Children’s Hospital (Houston, USA) : Etude de l’activité thérapeutique du tréhalose dans les MPS 

Programme organisé par Lysogène (Paris, France) et le Téléthon, avec le Prof. Marc Tardieu, Hôpital Necker-Enfants malades et Hôpital du Kremlin-Bicêtre (Paris, France) : Thérapie génique intracérébrale.

Travaux de recherche menés la Dre Adeline Lau, Université d’Adelaïde (Adelaïde, Australie) : Greffe de moelle osseuse.

Une nouvelle alliance mondiale pour le syndrome de Sanfilippo

Un programme de recherche innovant et prometteur avec le Swiss Data Science Center

Un programme de recherche encourageant dirigé par le Prof. Sizonenko et la Dre Veraldi

Une feuille de route mondiale pour les thérapies du syndrome de Sanfilippo

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